Avec les bouleversements climatiques et la détérioration environnementale actuelle, un grand nombre de personnes et de groupes font leur possible pour ressusciter ou préserver la vie terrestre. Chaque action, quelle que soit son envergure, est un pas de plus vers un résultat positif. Si d’autres se focalisent dans la sauvegarde directe de la biodiversité, d’autres optent pour des approches plus indirectes, mais qui ont des effets palpables sur cette course à la sauvegarde. Parmi ses actions se trouve la gestion responsable de la consommation et l’exploitation de l’énergie : le gaz et l’électricité. Si les objectifs des siècles derniers visaient à produire plus, le 21ème siècle se tourne plutôt vers le « produire mieux ». Ainsi sont nés de nouvelles idées et de nouveaux concepts, comme l’énergie verte ou l’énergie renouvelable. Actuellement, il y en a pas mal comme forme.
L’énergie solaire et éolienne
Parmi les petits jeunes de la famille des énergies renouvelables se trouvent l’énergie solaire et l’éolienne. Elles sont considérées jeunes, car elles n’ont été appréciées et démocratisées que récemment.
Néanmoins, pour le solaire, il y a déjà eu des mises en pratique dès le 17ème siècle, avec l’utilisation de la chaleur du rayonnement solaire. En effet, dans l’énergie solaire, il n’y a pas que lumière, il y a également la chaleur. Ainsi, les énergies obtenues avec la technologie photovoltaïque sont converties et stockées grâce à un système de capteur de lumière et de stockage par batterie. Son avantage est que l’utilisation de cette source d’énergie renouvelable est accessible par la plupart des gens et l’installation n’est pas très difficile. Seul inconvénient : il faut la lumière du soleil. Sinon, il y a aussi l’énergie solaire à basse et à haute température. Les deux ont pour but de capter la chaleur émise par le soleil. Le premier système est surtout utilisé comme chauffage, tandis que le second utilise la technologie de l’héliothermodynamie pour créer de la vapeur à très haute température et convertir l’énergie en électricité. Ici, donc, l’électricité produite par énergie solaire est considérée comme électricité verte. Il ne vient pas de sources fossiles, est renouvelable et n’est pas nocif à l’environnement.
L’énergie éolienne, quant à elle, se focalise sur la force du vent et la transformation de celle-ci en énergie utilisable. Tant que la terre tourne et qu’il y a de l’atmosphère, le vent existera toujours. Ainsi, cette forme d’énergie verte est plus ou moins infiniment renouvelable. L’inconvénient avec ce système d’exploitation énergétique est qu’il coûte énormément, car la taille de l’éolienne impacte grandement sur la production d’énergie. Sinon, c’est une forme d’énergie pure, non polluante et adaptée pour les espaces ouverts ou en haute altitude.
La bioénergie
Le terme bioénergie désigne l’énergie produite à partir de la biomasse. Cette dernière est l’ensemble des matières organiques d’origine végétale, animale, et même fongique, ou encore bactérienne. Avec une exploitation domestique ou à moyenne échelle, cette forme d’énergie est très écologique et est perçue comme renouvelable (à court terme). Evidemment, il n’y a pas, ici, utilisation de sources fossiles comme les hydrocarbures et les charbons de terre. Ainsi, grâce à l’utilisation de ces biomasses, vous pouvez avoir du biogaz, et même du biocarburant. Sinon, la forme primaire de la bioénergie est l’utilisation de bois et d’autres combustibles organiques. La limite est qu’à partir du moment où un taux de pollution élevée est enregistré, l’utilisation de cette source d’énergie contredit le concept d’énergie verte. Il y a donc un seuil à ne pas dépasser pour ne pas sortir du monde de la consommation énergétique responsable et écologique. Cela dit, l’utilisation du biogaz ou du méthane est de plus en plus prisée. L’avantage est que cette énergie reste facile à produire du moment que vous avez les matériels nécessaires :
- un système de stockage et de conversion de biomasse (fermentation),
- un système pour extraire et stocker la bioénergie (le biogaz),
- de la biomasse convertible (excréments, déchets végétaux, etc.).
L’idéale serait d’avoir une ferme, une prairie ou encore un restaurant où un grand nombre de déchets organiques sortent chaque jour. Sinon, vous pouvez toujours vous mettre à la collecte et aider votre entourage à se débarrasser de leurs ordures.